Le Journal de NOTRE EPOQUE

Journal béninois d’investigation, d’analyses et de publicité – Récépissé N° 953/MISPCL/DC/DAI/SCC du 27 mars 2007

QUE DEVIENNENT LES DANSEURS ET DANSEUSES QUAND LARTISTE N’EST PLUS SOUS LES FEUX DU SUCCÈS

Dans la mise en scène d’une prestation de l’artiste, les Chorégraphes (DANSEURS ET DANSEUSES) sont sollicités pour une parfaite réussite de la prestation scénique de L’artiste et sont rémunérés à 5000f ou au plus à 20.000f par prestation. Et pourtant ce corps de métier : CHORÉGRAPHES (danseurs et danseuses) constitue un pion, des pièces maîtresses de la scène de l’artiste.

TOUT COMMENCE LORS DES RECITALES AU COLLEGE.

Les journées culturelles dans nos Lycées et collèges sont des points focaux, des périodes d’expériences où pour la plus part on laisse la passion s’exprimer.

Pour preuve, nous étions tous passés par là.

LE BALLET NATIONAL

Les Danseurs et Danseuses sacrifient leur avenir pour les artistes.

D’autres carrément affrontent leurs parents ou même quittent le domicile pour nourrir leur passion. Dans ce périple, certains aboutissent au Ballet National, Ils donnent le meilleur d’eux pour faire exprimer leur art et donner plus de lumière sur l’artiste.

Le BALLET NATIONAL a repêché certains et les utilise à bon escient.

Je tire un coup de chapeau à des personnes comme ALADE K. ADOLPHE, STANISLAS DEGBO, MARCEL ZOUNON RACHELLE TOTAH, SAKPATA ZOGBO et bien d’autres encore qui sont les gardiens du temple de la danse au Bénin

DE GÉNÉRATION EN GÉNÉRATION

Personnellement ma pensée va à l’endroit des braves Hommes et Femmes qui ont alimentés le circuit de la danse à une époque donnée.

Big UP à BORNA, WILLIANOCK KPOBLI ET WILFRIED, SERGE BATAA, GIL DADY, PAPE SELIKO, PETIT MANKAMBO, NICOLE, DENISE ET MICHELLE, LUCRESSE TOTAH, FALONNE, ANY MARCIA, FREITAS LA MACHINE Etc…..

À tous les Promoteurs des concours Inter collèges et lycées qui se passaient au Hall des Arts et dans les grandes des villes du Bénin pour nourrir et donner vie à des talents.

Aujourd’hui, je constate avec amertume la disparition peu à peu de ses concours. Véritable manque à gagner pour la culture

Big UP à AKIM LE CASCADEUR qui a lui seul à révolutionné à un moment donné au Bénin la danse au sein de la nouvelle génération, il suscitait Admiration et plaisir.

Il aurait pu avoir une grande renommée ou encore une école de danse comme FABIO du groupe TOOFAN ou encore d’un certain ORDINATEUR du Feu DJ ARAFAT où plus encore d’une ZOTA de SERGE BEYNAUD qui bénéficient quand bien même des retombées de la célébrité pour vivre normalement comme tout Artiste.

Alors la grande question que je me pose est: QUE DEVIENNENT LES DANSEURS ET DANSEUSES QUAND LARTISTE N’EST PLUS SOUS LES FEUX DU SUCCÈS

Une question à laquelle je n’arrive toujours pas à trouver une réponse

LA SUITE DE MES CAPSULES D’IDÉES DANS MES PROCHAINES PUBLICATIONS

Je suis Efoe la joie

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efoelajoie@gmail.com

Acteur Culturel, manager d’artistes, Directeur du Festival FACE À FACE, un festival qui a pour objectif la Détection des talents à l’état pur

JUILLET2020@STARS LIVE AGENCY