Le Journal de NOTRE EPOQUE

Journal béninois d’investigation, d’analyses et de publicité – Récépissé N° 953/MISPCL/DC/DAI/SCC du 27 mars 2007

Mercato : Yannick Aguemon suivi en Turquie et au Pays-Bas

À l’approche de la fin de son contrat avec OH Louvain, Yannick Aguemon s’apprête à vivre un mercato animé. Alors que sa formation actuelle n’a pas encore manifesté publiquement une volonté de le prolonger, d’autres écuries très intéressées pourraient être le futur point de chute de l’offensif béninois.

Le bail de Yannick Aguemon avec OH Louvain expire bientôt. Engagé avec le club belge depuis 2017, l’international béninois sera libre dès juin prochain. À quelques mois de l’échéance, le brouillard pèse toujours sur le futur de carrière du béninois. Un départ ou une prolongation, rien ne semble pour l’heure augurer du futur de Yannick Aguemon.

OH Louvain n’a en effet pas encore explicité sa volonté de prolonger le natif de Cotonou. Le club qui devrait probablement connaitre une montée en D1A la saison prochaine a construit son animation offensive autour du béninois. En 125 rencontres disputées avec la formation belge, le virevoltant béninois a inscrit 24 buts et offert 23 passes décisives. Des statistiques appréciables qui ne passent pas inaperçues sous d’autres cieux.

En Belgique comme ailleurs, nombreuses sont les écuries qui rêvent de l’international béninois. Il pourrait donc rester au pays d’Eden Hazard sous ses couleurs actuelles ou en défendre de nouvelles. Selon des informations du site Goal.com la saison dernière, Yannick Aguemon était déjà courtisé par quatre clubs de l’élite belge dont Saint-Trond, Charleroi et le Cercle Bruges. De plus, la même source évoquait les intérêts des clubs français tels que Troyes, Brest, Amiens pour le natif de Cotonou.

La Turquie et les Pays-Bas restent également des options pertinentes pour le jeune ailier béninois . Sûrement amené à choisir dès cet été, le futur de Yannick Aguemon sera sous le feu des rampes. L’occasion pour l’international béninois de viser haut et franchir un cap dans sa jeune carrière.

Gaël HESSOU

l
Le Journal de NOTRE EPOQUE