Le Journal de NOTRE EPOQUE

Journal béninois d’investigation, d’analyses et de publicité – Récépissé N° 953/MISPCL/DC/DAI/SCC du 27 mars 2007

Raconte-moi photographe : Une exposition qui fait découvrir le 1er août 1960

L’esplanade extérieure du stade de l’amitié Général Mathieu Kérékou a abrité du 14 au 28 août 2020, une exposition de photos qui retrace les manifestations et personnalités associées au 1er août 1960, jour de l’indépendance de la république du Bénin.

« Il s’agit dune exposition photo qui retrace la fête de l’indépendance le 1er août 1960 par un célèbre photographe du nom de Cosme Dossa à qui nous voulons rendre hommage à travers ces soixante ans d’indépendance », explique le promoteur, Didier Kpassassi. A travers cette exposition, il entend fait découvrir au public, l’histoire de ce jour spécial et les personnalités importante de cette indépendance. « En mettant en place une exposition de photos sur ses ouvres qui retracent clairement la fête de l’indépendance, les activités, les manifestations de la fête de l’indépendance le 1er août 1960 », a-t-il fait savoir. Didier Kpassassi indique que « Nous avons pensé faire cette exposition sur une place publique pour permettre à tout le monde de venir voir réellement et connaître l’histoire, de quoi il s’agit, qui est le père de l’indépendance, quels sont les membres de son gouvernement, sa femme, les personnalités à divers niveau en ce temps, les colons qui ont participé vraiment à la liberté ». C’est dans ce sens que l’exposition s’est déroulée au niveau de l’esplanade extérieur du stade Général Mathieu Kérékou. « Au cours de l’exposition, nous enregistrons 200 à 300 visiteurs environ. Les weekends sont plus remplis parce que plusieurs personnes veulent connaitre l’histoire, les écoliers, élève, étudiants et même les chercheurs viennent pour en savoir plus », informe l’exposant. Cette exposition n pas eu lieu au hasard mais il s’agit d’un résultat de recherche visant à mettre en exergue la mémoire de Cosme Dossa sans qui nous n’aurons pas ces images fortes. « Nous nous sommes basés sur les recherches, la numérisation des clichés faite par l’école du patrimoine africain », a expliqué Didier Kpassassi.

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